Vedette des attractions foraines comme « entresort » et des muséums d’histoire naturelle, le diorama, dispositif à la croisée de l’histoire, de la scène, des sciences et techniques a subjugué le public pendant plus de 60 ans avant d’être détrôné par le cinématographe. Le diorama – dont l’étymologie signifie « voir à travers » – est un modèle d’exposition, qui met en scène un personnage, un animal ou un évènement historique dans son environnement naturel. Il met en scène notre connaissance du monde, mais sert également de support de projection à l’imaginaire, et trouve notamment son origine dans le monde du théâtre. Le diorama dégage une énorme puissance de fiction et d’émerveillement car il crée l’illusion de quelque chose d’absent, qui surgit soudain !
Anonyme, Le Bailly (1740). Deux images d’une série de douze. Carton noir perforé, collage, doublure colorée (Collection Werner Nekes). La perforation apparaît au XVIIème siècle et sert à éclairer une image par derrière. Nous sommes aux prémices des systèmes d’éclairages qui seront utilisés pour les toiles peintes des dioramas.
Polyoramas panoptiques, formes diverses et lorgnette (1849), fabriquant Lemaire (Collection Werner Nekes). Le polyorama panoptique est un dispositif optique qui permet de visionner des tableaux animés grâce aux variations de la lumière. Cet appareil fut inventé par Lemaire, un opticien français. Il est considéré comme le prolongement « miniature » du diorama.
Images transparentes pour le Polyorama panoptique (1849). Neuf lithographies peintes au dos, en partie perforées (Collection Werner Nekes).
Sous la dénomination de diorama, on retrouve différentes formes de représentations et d’échelles, du décor théâtral à la maquette, de la crèche aux livres animés en pop-up.
Anonyme, Diorama la salle de bain (1850). Chromolithographie coupée de carton (Collection Werner Nekes).
Le modélisme use de ce genre de représentation pour la présentation de modèles réduits (automobile, naval, ferroviaire, militaire) ou de scènes de jeux (jeux de plateau et de rôle, figurines, santons, wargames). Cela permet une mise en situation et une mise en scène des personnages représentés dans leur environnement contemporain : champ de bataille, intérieur de demeure historique, cadre de vie, etc.
Louis Daguerre, l’inventeur
Au XIXe siècle, l’homme se prend d’une fiévreuse envie de tout VOIR. Autour du boulevard du Temple à Paris, toutes sortes d’attractions lui offrent alors cette ubiquité du regard comme le panorama (1), paysage immersif et circulaire développé en 1791 et ses dérivés : le cosmorama (1808), le géorama (1826), et autre néorama (1827) qui promettent « un spectacle du globe terrestre entier ».
« Les dioramas […] dont la magie brutale et énorme sait m’imposer une utile illusion. » Charles Baudelaire.
Plus célèbre pour sa contribution à l’invention de la photographie, en 1822, Daguerre, associé au peintre Charles-Marie Bouton, participe à la révolution optique du siècle romantique en donnant naissance à la première des réalités virtuelles. Soit une immense toile semi-transparente, peinte sur les deux faces, à laquelle des jeux de lumière, de miroirs et de verres multicolores donnent l’illusion de mouvement et de paysage du temps. Sur ces paysages grandioses, le brouillard monte, la nuit tombe, et le soleil a rendez-vous avec la lune. Un théâtre sans acteurs, héritier sophistiqué des lanternes magiques du XVIIe siècle qui figure pour la première fois le passage du temps, et anticipe l’invention du cinéma comme l’un des premiers procédés techniques visant à produire l’illusion d’une image en mouvement.
Dans sa Lettre à sa sœur Laure (1822), Honoré de Balzac qualifiait le diorama, cette mise en situation d’une scène historique, naturaliste ou encore géologique, de « Merveille du siècle ». Toutes les toiles ayant été détruites, le seul diorama de Daguerre qui subsiste aujourd’hui est celui de l’église de Bry-sur-Marne, où il a été installé en 1842. Louis Daguerre avait acheté une immense propriété dans la ville. A la demande d’une habitante fortunée, il avait eu pour mission de « transformer » la modeste église en cathédrale gothique. Daguerre réalisa donc un trompe-l’œil gigantesque, ou l’on voit le chœur d’une cathédrale gothique, avec des détails travaillés et plein d’humour : des toiles d’araignées dans un coin, un clou accroché dans le mur, une bougie qui vient juste d’être soufflée. Les faux tableaux aux murs ont été peints volontairement de travers – afin de paraître droits lorsqu’on les regarde de loin. Tout a été conçu pour que les spectateurs assis dans différents endroits de l’église ne voient pas la même chose.
La toile translucide, peinte des deux côtés, fut recouverte d’une fine couche de peinture afin de laisser passer la lumière et de changer selon l’intensité de l’éclairage grâce à un système complexe de miroirs et de verres colorés, cachant certaines parties, éclairant d’autres. Le tout afin de raconter des histoires et de donner l’illusion d’une animation. Un précurseur du « son et lumière » au XIXe siècle.
Naguère Daguerre 1 (2012). Toile peinte du XIXe siècle et création numérique. Jean-Paul Favrand, créateur et directeur du Musée des Arts Forains à Paris, a recréé les métamorphoses de la toile pour révéler un coucher de soleil et l’éruption du Vésuve. La projection vidéo et le mouvement des flambeaux donnent vie aux volutes de fumées.
Naguère Daguerre 3 (2015). Toile peinte du XIXe siècle, installation et scénographie lumineuse. Le pont de Brooklyn apparaît soudain au-dessus de l’East River grâce à un habile changement d’éclairage, accentuant ainsi l’aspect dramatique de la scène.
Le diorama théâtral.
Les premiers dioramas sont intimement liés à l’histoire de la peinture de paysage et à l’émergence de la notion de sublime, ils représentent le plus souvent des monuments ou des paysages grandioses peints dans la pure tradition romantique. Ces compositions en trompe-l’œil s’animent grâce à de savants jeux de lumière, de miroirs réfléchissants et de verres colorés pour créer différents effets d’atmosphères.
Diorama et Wauxhall, Paris Alexis Donnet et Orgiazzi. Continué par J. A Kaufmann. Architectonographie des théâtres de Paris, Lacroix et Baudry (Paris, 1837).
Plan et coupe du diorama de Daguerre à Londres.
Très vite, les forains s’approprient cette invention, à laquelle ils ajoutent l’orchestration d’automates. Le diorama devient alors un spectacle populaire qui perdure dans les fêtes foraines après l’incendie de la salle parisienne en 1839. Le diorama évoluera ensuite vers un dispositif frontal avec des silhouettes sculptées sur un fond peint illusionniste.
Crèches du XVIe siècle
Face à la montée du protestantisme et pour assurer la suprématie de l’Eglise catholique, le Concile de Trente (1545-1563) qui incarne l’apogée de la Contre-Réforme, trouve dans l’art un allié précieux. Formidable instrument de propagation de la foi, les reconstitutions en volumes de scènes tirées de la Bible ou de la vie des saints connaissent un vif succès à partir du XVIe siècle. Les crèches, notamment, se répandent dans les églises et les foyers lors des fêtes de Noël. De petites dimensions, les tableaux en volume font l’objet d’une dévotion privée. A l’opposé, les reconstitutions des Monts Sacrés d’Italie du Nord exhibent des échelles spectaculaires. A l’intérieur d’innombrables chapelles disposées selon un parcours précis, des centaines de sculptures incarnent des épisodes de la vie du Christ au milieu de fresques peintes en trompe-l’œil.
Ignazio Lo Giudice, Le martyre de St Laurent (1710). Cire polychrome et matériaux divers.
Miniaturisées ou grandeur nature, une attention particulière est portée dans ces scènes aux expressions des visages, au rendu de la peau, aux vêtements et aux décors. L’usage de la cire, matériau malléable, imite la peau humaine. Souvent, de véritables cheveux et étoffes habillent les acteurs de ce théâtre sans parole. Par leur volonté illusionniste, ces productions peuvent être considérées comme les plus vieux dioramas du monde. On y retrouve ses principales caractéristiques : des éléments tridimensionnels, un fond peint et pour beaucoup, une vitre ou une grille de séparation.
Anonyme, Le Paradis (XIXe siècle). Verre filé, verre soufflé, terre cuite, papier, bois, coquillage, végétaux séchés, gravure sur papier découpé, collé.
Diorama naturaliste et taxidermie
D’abord imaginé pour les amateurs de safari, le diorama naturaliste intègre bientôt les muséums d’histoire naturelle qui comprennent la portée pédagogique de présenter, « sous vitrine », une toile de fond et des éléments tridimensionnels ; ainsi que des animaux dans leur habitat naturel.
Rowland Ward, Vitrine d’oiseaux illustrant la diversité des plaines du Guadalquivir (1890-1895). Le britannique Rowland Ward a révolutionné l’art de la taxidermie en s’appuyant sur ses connaissances anatomiques et sur ses dispositions pour la sculpture et la peinture. Il redonne forme et vie aux dépouilles qu’il place dans des attitudes spectaculaires et dramatiques. Les animaux naturalisés sont représentés dans le vif de l’action.
Au XIXe siècle, la taxidermie se transforme radicalement. Ne se contentant plus d’empailler des animaux à des seules fins de préservation scientifique, les taxidermistes souhaitent leur redonner vie à travers des mises en scène réalistes. Des dynasties de taxidermistes apparaissent, telles que la maison Verreaux en 1803 à Paris ou l’établissement Rowland Ward en 1870 à Londres. Ce dernier popularise l’« habitat de groupe », soit la présentation d’animaux en groupe dans leur environnement naturel, qui connaît un vif succès auprès des riches Européens férus de safaris.
Peter Spicer, Les blaireaux (1874). Taxidermie, bois et verre.
Les musées d’histoire naturelle saisissent rapidement l’intérêt pédagogique des dioramas. En opposition à l’exposition systématique des espèces selon une classification scientifique, les dioramas théâtralisent le mode de vie des animaux et, ce faisant, participent au développement d’une conscience écologique auprès du grand public. La Suède et les Etats-Unis sont les premiers à se doter de ces outils de présentation.
Erich Bottcher, Diorama mouflon de Dall (1997). Matériaux divers.
Le naturaliste et taxidermiste Gustaf Kolthoff esquisse des premiers dioramas de l’American Museum of Natural History de New York, réalise son premier diorama de groupe au Milwaukee Museum en 1889. En France, c’est le Musée d’histoire naturelle de Rouen qui fait figure de pionnier en se dotant du sien en 1892.
American Museum de Barnum (1842) Où se trouvent des toiles peintes, des panoramas, ainsi que des dioramas de la Création et du Déluge.
A l’American Museum of Natural History, créé en 1869, les dioramas furent créés à partir de 1913 par Carl Akeley. Celui-ci avait offert ses services au Directeur du Musée de l’époque, pour passer 5 ans de sa vie à construire les premières scènes. Aujourd’hui, les dioramas de New York sont devenus un patrimoine historique.
Malgré le caractère spectaculaire des dioramas, une volonté d’exactitude scientifique préside à leur confection. Ils sont le fruit d’expéditions lointaines et du travail d’un grand nombre de personnes (peintres, menuisiers, mouleurs, sculpteurs, botanistes, etc.) Ils reflètent aussi un monde colonial, dominé par l’homme blanc, qui projette ses désirs de conquêtes et ses représentations mentales, telles que la famille traditionnelle patriarcale, érigée en modèle.
Diorama humain
Les premiers dioramas ethnographiques émergent dans les musées d’Europe du Nord dans les années 1870, avant d’être repris et diffusés à travers toute l’Europe, notamment par le biais des grandes expositions universelles. Vitrines de la puissance et de la richesse des nations, ces dioramas témoignent de l’étendue de leurs conquêtes coloniales et permettent à de nombreux visiteurs de découvrir pour la première fois les us et coutumes des colonies par le truchement de mannequins de cire ou de papier mâché en situation.
Instruments de propagande, ces reconstitutions représentent le fantasme d’une société dans laquelle l’homme blanc est au sommet de l’évolution. De la même manière, la mise en scène de faits historiques et batailles militaires représente les actions héroïques d’une civilisation conquérante, à travers la mise en scène dramatique de figures, souvent capturées dans l’intensité du combat.
Anonyme, Fragment de mannequin de la salle de France du musée d’ethnographie du Trocadéro (1889). Papier mâché et carton bouilli.
Au même moment, face à une modernité galopante, les musées ethnographiques voient dans le diorama le moyen de préserver les croyances et les traditions locales menacées d’extinction. Cette révolution muséographique permet, par la mise en scène de mannequins en cire grandeur nature, habillés de costumes populaires, d’insuffler de la vie aux objets exposés.
L’envers du décor
Scènes figées dans le temps, faites de plâtre, de peinture ou d’animaux empaillés, le diorama est un art illusionniste et scientifique de la mise en scène. Le diorama est pluridisciplinaire et met en jeu des artisans, taxidermistes, architectes, peintres. La dimension documentaire de nombreuses photographies et films sur les dioramas nous invite à découvrir l’envers du décor et les enjeux de leur fabrication.
Richard Barnes, par exemple, arpente les coulisses des musées d’histoire naturelle pour révéler ce qui se cache au visiteur. Il met à jour l’artificialité des dioramas par des photographies qui confrontent avec humour un homme passant l’aspirateur au pied d’un buffle, ou une gazelle bâchée au milieu de la savane. Diane Fox, elle, déconstruit l’effet de réel propre au diorama en incluant dans ses photographies jeux de miroir, réflexions de la vitre de séparation, ou gros plans sur le fond peint. Armand Morin, s’intéresse au destin qui attend certains dioramas : leur démantèlement et leur dislocation. Il retrace le chemin qui mène de l’illusion panoramique à la brusque irruption du réel.
Diorama cinématographique
L’exposition du Palais de Tokyo a la bonne idée de ponctuer le parcours muséographique par des extraits de films montrant un dispositif de diorama, comme dans La nuit au musée de Shawn Levy (2006), La planète des singes de Franklin J. Schaffner (1968) ou la séquence final du Truman show de Peter Weir (1998).
La notion de décor géant et fictif est au centre de ces films qui convoquent les puissances du faux.
Dioramas contemporains
Considérés comme obsolètes et tributaires de représentations archaïques, les dioramas disparaissent progressivement des musées qui privilégient d’autres outils de médiation. Les artistes surréalistes et leurs descendants les apprécient néanmoins, y trouvant un espace de projection propice à la rêverie. Le diorama est redevenu un mode d’expression qui inspire les artistes contemporains.
Pierrick Sorin, I would like to live in a doll house (2011). Théâtre optique.
Dans l’espace clos d’une boîte, des mises en scène miniatures oniriques et mélancoliques s’offrent au regard du spectateur. C’est le cas des « théâtres poétiques » de Joseph Cornell où s’entremêlent rêve et réalité par l’assemblage d’objets récupérés, des boîtes-sculptures de Charles Matton à l’incroyable présence cinématographique, ou des paysages d’Anselm Kiefer.
Charles Matton, L’ombre du peintre II (2002). Ombres et réflexions jouent ensemble. Ce qui ressemble à un miroir en est un leurre, et l’ombre sur le mur émane d’un tour de force technique qu’il est jubilatoire d’accepter comme tour de magie. Les célèbres boîtes de Charles Matton (1931-2008) décryptent la réalité avec une maniaquerie scrupuleuse et une connaissance intime des détails du quotidien et de la patine du temps ; d’autres émanant de souvenirs de l’artiste revisités par lui, d’autres encore sont des créations fictives.
Kent Monkman, Bête noire (2014).
L’irruption violente de l’hypermodernité au XXIe siècle vient bouleverser les représentations de l’homme et de son environnement que le diorama avait pour mission de préserver. De romantique le paysage devient apocalyptique. Les ravages d’un monde en proie à l’urbanisation massive hantent les dioramas de Mark Dion, d’Isa Genzken, de Fiona Tan et le film de Cao Fei. L’évocation d’un monde idéalisé, respectueux de son environnement et immuable dans ses croyances, est révolu.
Patrick Jacobs, Yellow slime mold with blue pinkgills (2015). Diorama vu par une fenêtre de 5 cm.
Le dérèglement des croyances et des climats provoque le regard du spectateur qui n’est plus au centre su mécanisme de vision, comme en témoigne le diorama de Tatiana Trouvé. La vitre qui séparait le monde rêvé disparaît, déconstruisant ainsi l’illusion pour n’en laisser que le fantôme. Les figures hyperréalistes de Duane Hanson sortent du décor, désormais dépourvu d’artifices.
Richard Baquié, Sans titre, 1° la chute d’eau, 2° le gaz d’éclairage… (1991). Reconstruction du diorama de Marcel Duchamp d’après ses instructions laissées. L’œuvre est ici accessible sous tous les angles, pour révéler au spectateur les coulisses du diorama et la construction de l’illusion, comme pour démystifier les fantasmes qui l’entourent.
Artistes présentés
Marcelle Ackein, Carl Akeley, Sammy Baloji, Richard Baquié, Richard Barnes, Erich Böttcher, Jacques Bouisset, Cao Fei, Philippe Chancel, Joseph Cornell, Louis Daguerre, Giovanni D’Enrico, Caterina De Julianis, Mark Dion, Jean Paul Favand, Claude-André Férigoule, Joan Fontcuberta, Diane Fox, Emmanuel Frémiet, Ryan Gander, Isa Genzken, Arno Gisinger, Ignazio Lo Giudice, Robert Gober, Duane Hanson, Edward Hart, Patrick Jacobs, Arthur August Jansson, Anselm Kiefer, Fritz Laube, Pierre Leguillon, William Robinson Leigh, Charles Matton, Mathieu Mercier, Kent Monkman, Armand Morin, Lorenzo Mosca, Dulce Pinzón, Walter Potter, Georges Henri Rivière, G-M Salgé, Gerrit Schouten, Ronan-Jim Sévellec, Pierrick Sorin, Peter Spicer, Hiroshi Sugimoto, Fiona Tan, Jules Terrier, Tatiana Trouvé, Jeff Wall, Rowland Ward, Tom Wesselmann.
– L’exposition Diorama a eu lieu du 14 juin 2017 au 10 septembre 2017 au Palais de Tokyo à Paris.
Note :
– « La force du trompe-l’oeil réside dans un double mouvement : être trompé et être détrompé dans le même temps. Avec le panorama, la chronologie s’inverse puisque le spectateur est détrompé avant d’être trompé. Et c’est bien parce qu’il connaît le dispositif avant même de pénétrer dans cet espace qu’il peut alors se laisser aller au plaisir de voir ses sens manipulés. Comme dans le cas du cinématographe, le visiteur sait bien que c’est faux, mais quand même, le temps de la visite, il y croit.» Texte extrait de l’ouvrage Le panorama, un effet spécial comme les autres ? Un détour par le Matte Painting in Le panorama, un art trompeur, dirigé par Jean-Roch Bouiller, Ségolène Le Men, Laurence Madeline et Giusy Pisano, Villeneuve d’Asq, Les presses universitaires du Septentrion, « Images et sons », 2019, p. 141-151.
A lire :
– Diorama, Catalogue de l’exposition au Palais de Tokyo (ditions Flammarion, 2017).
– Windows on Nature : The Great Habitat Dioramas of the American Museum of Natural History (Harry N. Abrams Editions, 2006).
– Edouard Sautai.
A voir :
– Media Magica.
Crédits photos – Documents – Copyrights : S. Bazou. Tous les documents et archives sont proposés sauf avis contraire des ayant droits, et dans ce cas seraient retirés.