Comment êtes-vous entré dans la magie ? A quand remonte votre premier déclic ?
J’ai reçu un livre de magie quand j’avais environ onze ans, puis j’ai consulté la bibliothèque du coin. Le premier truc que j’ai acheté était le Professors nightmare, un tour de corde.
Quand avez-vous franchi le premier pas et comment avez-vous appris ?
J’ai commencé à faire des spectacles dans la rue à quinze ans.
Quelles sont les personnes ou les opportunités qui vous ont aidé. A l’inverse, un évènement vous a-t-il freiné ?
Jack Delvin a été mon premier mentor.
Dans quelles conditions travaillez-vous ?
J’ai été un artiste de rue pendant plus de trente ans et j’ai travaillé dans de nombreuses situations. Je me suis aussi produit sur des navires de croisière au cours de mes huit dernières années.
Quelles sont les prestations de magiciens ou d’artistes qui vous ont marqué ?
J’apprends de tout le monde, surtout des magiciens comiques, des comédiens et des clowns.
Quels sont les styles de magie qui vous attirent ?
Principalement des tours de manipulations et la magie comique, mais pas trop d’illusionnistes en particulier.
Quelles sont vos influences artistiques ?
Buster Keaton et George Carl.
Quel conseil et quel chemin conseiller à un magicien débutant ?
Sortir et jouer. La représentation en live est l’essentiel. Les rues sont un formidable lieu d’apprentissage.
Quelle est l´importance de la culture dans l´approche de la magie ?
La magie traverse toutes les cultures, nous sommes tous pareils : des humains.
Vos hobbies en dehors de la magie ?
Le yoga, le fitness, la philosophie et dernièrement, je me suis mis à créer des « bouteilles impossibles » sur le thème de la magie.
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Interview réalisée en août 2020. Crédits photos – Documents – Copyrights avec autorisation : Nick Nickolas. Tous les documents et archives sont proposés sauf avis contraire des ayants droit, et dans ce cas seraient retirés.