Sans recourir à l’hypothèse d’un second corps coexistant avec notre corps ordinaire, on entrevoit des explications possibles, ce qui peut être naturellement explicable parmi les phénomènes du spiritisme. Nous avons indiqué les effets que semblerait pouvoir produire l’influx nerveux, le fluide électromagnétique ou, en un mot, tel mouvement vibratoire particulier engendré par le corps humain. Rien de trop étonnant, après cela, que les tables ou les médiums donnent des réponses exacte, quand l’un des assistants connaît la réponse à la question posée. Sans doute, il est extraordinaire que les pensées intimes de cet assistant soient subitement révélées d’une manière exacte, mais n’est ce pas lui qui fait agir la table et qui répond sans s’en douter ? Et si c’est un médium qui lit les pensées et les révèle, n’est ce pas de la suggestion mentale ? On conteste, il est vrai, l’existence de la suggestion purement mentale, mais il n’est pas impossible qu’elle existe, de l’avis même de certains philosophes de l’Ecole théologique. Ils admettent, en effet, que toute pensée fait vibrer le cerveau d’une façon spéciale. Ils sont frappés, par ailleurs, du phénomène de la vibration par influence. Quand deux diapasons ou deux harpes sont bien harmonisés, et reliés par une tige ou un fil métallique rigide ou simplement placés en face l’un de l’autre, si l’on fait vibrer l’un, l’autre vibre par influence sans qu’on le touche (1). De même si deux cerveaux sont bien harmonisés, les vibrations de l’un ne peuvent-elles pas faire vibrer l’autre semblablement, et ces vibrations similaires faire naître la pensée correspondante ?
On a cité souvent (2) « et ici encore », dit M. Remy, « je pourrais vous donner les noms et adresses de deux témoins du fait », le cas rapporté à la Faculté de médecine d’Angers, par le Dr Quintard, en 1894 d’une petite fille qui lisait absolument toutes les pensées de sa mère. Quand sa mère lui faisait réciter une leçon, elle savait toujours ; au cours, elle ne savait pas. On finit par s’apercevoir qu’elle lisait immédiatement dans les yeux ou dans la pensée de sa mère tout ce que celle-ci lisait : même des solutions de problèmes compliqués, du latin, de l’anglais, de l’espagnol qu’elle ignorait d’ailleurs. Ce fait et d’autres faits de clairvoyance, de vue à distance dans le somnambulisme et l’hypnose, sont certainement très curieux. Ils obligent à réfléchir beaucoup avant d’admettre qu’il y a autre chose que du naturel dans les phénomènes qui se passent autour de nous (3).
Et cependant, il faut admettre qu’il y a eu et
qu’il y a parfois du préternaturel dans les phénomènes de la magie, de la sorcellerie et du spiritisme. Evidemment, beaucoup de savants, beaucoup d’illusionnistes surtout, se contenteraient de sourire de cette assertion. Ils objecteraient aussitôt : « Vous ne connaissez pas toutes les forces de la nature !… ce qui parait inexplicable aujourd’hui sera peut-être expliqué demain !… Et puis, connaissez-vous tous les trucs ? » — « Néanmoins », répond le conférencier, « je maintiens très fermement mon affirmation ». Et que les sceptiques ne disent pas : « Je ne croirai qu’après avoir vérifié ! » — II est beaucoup de phénomènes et de lois scientifiques dont nombre de personnes, par exemple les sourds et les aveugles-nés, n’ont pas et ne pourront jamais vérifier personnellement l’existence et dont, cependant, elles sont assurées, parce qu’elles sont assurées de l’intelligence et de la bonne foi des savants ou des spécialistes qui les affirment.
Les Juifs et les Chrétiens peuvent s’en tenir au témoignage de la Bible et de l’Evangile qui enseignent que les démons agissent parfois dans le
monde. Mais il existe aussi des preuves scientifiques, admises par nombre de savants et de très sévères observateurs, et qu’il nous reste à examiner.
En réalité, les phénomènes du spiritisme, les plus extraordinaires surtout, présentent bien peu les caractères des faits naturels de la science. Les faits naturels se répètent toujours invariablement et identiquement dans les mêmes circonstances. Voyons, par exemple, les faits si curieux de la télémécanique sans fil. Jamais il n’arrive que la lampe refuse de s’allumer à distance, que le revolver refuse de partir a distance, que le récepteur
télégraphique ou collecteur d’ondes fonctionne à plus de 1 000 kilomètres, ou encore que la torpille dormante ou automobile fasse explosion sous l’action de l’onde électrique produite par l’étincelle que le passage du courant a fait jaillir. Au contraire, dans les séances de spiritisme, on n’est jamais sûr d’obtenir des résultats. Les mêmes médiums, les mêmes assistants, dans les mêmes circonstances, obtiendront parfois des choses absolument extraordinaires et parfois à peu près rien du tout. Sans doute, on peut dire que les circonstances ne sont peut-être pas les mêmes, qu’il y en a peut-être d’inconnues qui changent tout, mais le fait est au moins très curieux et donne à réfléchir.
Esprit frappeur vers 1858.
II est très curieux aussi de constater que les esprits tout en étant assez conciliants, semble t- il, au début de leurs manifestations, — car ils se montrent sentimentaux avec les âmes aimantes, savants avec les hommes de science, gais avec les bons vivants — finissent ordinairement par
causer quelque grave dommage, soit matériel, soit d’ordre intellectuel ou moral, à ceux qui entrent en commerce avec eux. Il y a là quelque chose de suggestif. « En ce qui me concerne », dit M. Remy, « cette conclusion se dégage très nettement des études et observations personnelles que
je n’ai cessé de faire depuis plus de 25 ans ». M. Maxwel est du même avis. Après un très long récit de faits bien étranges, rapportés dans son
ouvrage (p. 232 à 255), il conclut : « J’ai donné in extenso cette curieuse auto-observation de M Vergniat. La leçon qu’elle comporte se dégage d’elle-même. La personnification qui prétend se manifester est sujette à des erreurs qui peuvent être dangereuses si l’on s’abandonne aveuglément
à sa direction, comme trop de personnes sont tentées de le faire ». Et avant ce récit, il s’était posé la question suivante : « Que sont exactement ces personnifications ? Je n’en sais rien. Le problème qu’elles soulèvent dans certains cas est extrêmement difficile à résoudre. Elles ne me paraissent pas être ce qu’elles se prétendent être. Est-ce une conscience collective ? Est ce une illusion ? Est ce un esprit ? Tout est possible, rien n’est certain pour moi : sauf cependant qu’il ne faut pas s’y fier…, ni jamais s’abandonnera leur direction ..» (p. 231.)
Chose non moins extraordinaire ! Même les savants qui ont étudié scientifiquement le spiritisme sont obligés d’avouer que les phénomènes semblent procéder d’une cause intelligente autre que le médium ou les assistants. C’est ainsi que M. Maxwell nous dit : « Dès que les phénomènes
paranormaux sont un peu abondants, les choses se passent comme si la force qui agit était maniée par une intelligence distincte de celle des expérimentateurs. Les esprits manifestent souvent une grande indépendance et refusent nettement de déférer aux désirs exprimés. J ai vu le fait avec Eusapia : un jour celle-ci voulait boire et la table s’y opposait avec violence. Il ne faut pas leur commander comme on peut commander à la
personne endormie dans l’hypnotisme. En les rebutant, on n’obtiendrait rien (4). Je me hâte de dire que cela ne me paraît être qu’une apparence,
mais je ne donnerais pas une physionomie exacte des faits observés si je n’insistais pas sur ce curieux trait de leur caractère » (pp. 62, 63, 403,
104). — II serait aisé de corroborer cette remarque par de nombreux faits.
La science est donc obligée elle-même d’avouer qu’il y a peut-être là du préternaturel ! .. Et quand nous avons recherché les explications naturelles
possibles des faits produits dans les séances de spiritisme, avons-nous trouvé autre chose que des explications hypothétiques, incomplètes,
aléatoires ? La science a bien lieu d’être modeste dans la question : c’est l’avis formulé par M. William Crookes au début du discours sus mentionné.
Le chimiste et physicien anglais William Crookes (1832-1919) connu pour ses études concernant les médiums.
Enfin, il y a des faits qui, en raison de leur nature (a) ou en raison des circonstances (b), ne peuvent être évidemment attribués qu’à des agents supérieurs aux causes naturelles.
(a) Quand, par exemple, une personne demeure à six pieds au-dessus de terre sans aucun soutien, ou bien lorsqu’un crayon, libre de toute attache,
se lève au milieu d’une salle, écrit une phrase de Pascal, une de Descartes, une de Napoléon, etc. et que l’on constate ensuite, en allant voir aux
archives les originaux, que récriture obtenue est exactement conforme, trait pour liait à l’écriture authentique de ces grands hommes ; ou encore
lorsqu’une personne parle très bien et subitement une langue qui lui est complètement inconnue, révèle des choses absolument cachées, montre des forces totalement au-dessus de sa condition, les explications par les causes naturelles semblent vraiment insuffisantes et, très certainement, il y a là intervention extra humaine (5).
(b) D’un autre côté, en raison des circonstances : tels sont les deux faits A et B exposés à la fin de la première conférence. Qu’on veuille bien s’y
reporter et en bien étudier les circonstances et le caractère : ces deux manifestations, si différentes dans leurs effets, n’ont-elles pas la même signification ? — Tel encore le fait extraordinaire suivant dont toute la ville de Libourne fut témoin, en août ou septembre 1883. Un bruit bizarre, intermédiaire entre celui du sifflet d’une locomotive et celui d’une sirène, une sorte de « hou » strident et continu partait, vers onze heures du soir, du cimetière ou du voisinage du cimetière, passait devant la caserne des dragons, terrorisant le factionnaire et les hommes de garde, parcourait
ensuite la ville, habituellement certaines rues mal famées du quartier de la Glacière, puis revenait se perdre à son point de départ. On interrogea
les savants, on mobilisa la police, les gendarmes, la garnison ; on promit des primes à qui dénoncerait l’auteur ou les causes de cette manifestation mystérieuse et lugubre qui mettait la ville entière en émoi, mais que rien ne put arrêter. Elle prit fin au bout d’un mois environ, et cette
fin aurait coïncidé, paraît-il, avec l’intervention de l’autorité religieuse. Il existe à Libourne de nombreux témoins de ce fait que M. Remy déclare
tenir de parents très proches domiciliés alors dans cette ville.
Que si l’on demande dans quel cas précis il y a intervention véritable des esprits on ne peut répondre très nettement. Encore une fois, il n’y a rien de bien délimité, de bien clair en tout cela. On ne peut qu’indiquer, comme on vient de le faire, les signes principaux et l’aspect ou le caractère des faits où l’on peut être à peu près sûr de cette intervention.
Photo spirite représentant une scène de dueil en 1920.
« Ce sont les mauvais esprits, les démons », dit l’Ecole théologique, « qui produisent les phénomènes les plus extraordinaires, et qui sait s’ils
n’interviennent pas même quelquefois pour la production des phénomènes les plus ordinaires ? Ils sont habiles et ils savent utiliser tous les moyens pour nuire aux hommes. N’agissent-ils pas réellement, dans certains cas où la science fournirait peut être des explications suffisantes,
mais où ils interviennent simplement parce qu’on fait appel aux esprits ? Nous avons démontré, en effet, que dans ces évocations on ne peut légitimement compter sur l’intervention des bons anges, ni des âmes des morts. » (6).
« On n’a donc pas le droit », ajoute cette Ecole, « de s’exposer, en faisant du spiritisme, a entrer un jour ou l’autre en relation avec les esprits des
ténèbres, les éternels ennemis de Dieu…, même en supposant qu’on veuille simplement expérimenter et qu’on rejette toute intention de communiquer avec les esprits. » « Je n’irai pas jusque-là », dit M. Remy, « en présence surtout d’illusionnistes aussi émérites que ceux qui m’écoutent : attendu, d’ailleurs, que la rotation de certains objets – j’entends la rotation purement mécanique, non accompagnée de
phénomènes exceptionnels – est probablement chose naturelle. »
Pour justifier ce « non licet », l’Ecole théologique déclare « qu’indépendamment du danger de relations avec le démon le spiritisme, au point de
vue religieux, éloigne, en général, de la vraie religion. Il a pu y ramener certaines personnes en leur faisant croire à l’existence d’un monde spirituel invisible, mais c’est l’exception. »
L’Ecole expérimentale proteste contre ces interdictions et aussi contre l’intolérance ou peut-être le prudent parti pris de certains savants qui, par crainte de ridicule ou de ne pas trouver immédiatement des explications satisfaisantes, considèrent les faits psychiques ou spirites comme indignes de la science (ouvrage de M Maxwell, pp. 3 et 346). « Malheur », s’écrie M. Charles Richet (7) dans la préface qu’il a écrite pour cet ouvrage, p XI, « malheur aux savants qui croient que le livre de la nature est fermé et qu’il n’y a plus rien de nouveau à faire connaître aux faibles
hommes ! » — M Maxwell écrit à son tour à la dernière page de son étude : « Les faits psychiques, autant que mon expérience me permet d’en
juger n’ont rien que de naturel. Le diable n’y montre point ses griffes, que les âmes timorées se rassurent; si les tables proclament qu’elles sont Satan lui-même, il n’y aura pas à les croire ; mis en demeure de prouver sa puissance, ce Satan grandiloquent sera un triste thaumaturge. Le préjugé religieux qui proscrit ces expériences comme surnaturelles est aussi peu justifié que le préjugé scientifique qui n’y voit que fraude et
tromperie. Ici encore, le vieil adage d’Aristote trouve son application : la justice est dans une opinion intermédiaire ».
On remarquera que M. Maxwell ne mentionne dans cet alinéa que « les faits psychiques ». Dans le précédent, il avait écrit : « Le spiritisme me paraît un adversaire avec lequel les autorités ecclésiastiques » — on peut ajouter : et la science matérialiste — « auront un jour sérieusement à compter ». Le spiritisme et le psychisme n’étant pas deux choses identiques, il convenait de signaler la différence des deux expressions employées. « D’ailleurs », dit encore M Maxwell « bien qu’elle prescrive de s’abstenir, l’autorité ecclésiastique, avec le tact et le sentiment de l’opportunité qu’elle marque souvent, permet à beaucoup de catholiques, suffisamment instruits et de sang-froid, l’étude expérimentale des faits psychiques. Mais je ne saurais la blâmer de recommander à la masse des fidèles une prudente abstention » (P 316)…
C’est qu’en effet, au triple point de vue physique intellectuel et moral, ces études et ces pratiques provoquent l’exaltation morbide des facultés mentales et conduisent rapidement à la névrose, quand ce n’est pas, comme il arrive souvent, à toutes sortes d’autres maladies et à la folie. C’est chose notoire que la plupart des médiums fameux et bon nombre de ceux qui ont assidûment suivi les pratiques spirites sans la prudence et les précautions que commande une saine logique, sont morts fous ou atteints de troubles nerveux profonds (8).
Quant aux réponses et aux renseignements fournis par les tables et les médiums répétons le à nouveau, on ne saurait s’y fier. On y trouve la vérité quelquefois, mais très souvent aussi le mensonge et l’erreur. On y reçoit parfois l’annonce d’une maladie : on est frappé et, par autosuggestion, on en devient malade. De même, on entend dire du mal de quelqu’un, on se persuade que c’est peut-être vrai et on en arrive à l’irritation, parfois à la vengeance, pour une chose qui n’a jamais existé.
Qu’il soit donc permis à quelques savants ou techniciens d’une compétence reconnue d’étudier, dans certains cas, les manifestations du spiritisme
pour reconnaître si les faits existent réellement et dans quelle mesure ils peuvent être frauduleux, naturels ou préternaturels. Voilà, semble t-il, tout ce qu’on peut concéder. Mais la « grande masse », suivant l’expression de M Maxwell, doit s’en tenir aux conseils des spécialistes probes et expérimentés qui lui recommandent une sage et prudente abstention. Ce n’est point par des chemins ténébreux que L’homme doit poursuivre et atteindra plus aisément ce qui convient à sa nature : le bien et la vérité.
Notes :
(1) M. Mercadier a réalisé un appareil télégraphique basé sur ce phénomène et permettant d’effectuer 24 transmissions simultanées par un seul fil. Des diapasons de valeurs toniques distinctes émettent des courants ondulatoires de périodes différentes qui sont triés, à l’arrivée, par des récepteurs individualisés (monotéléphones), ne vibrant chacun énergiquement, que pour un courant de même période que celui émis par l’un des diapasons.
(2) Flammarion : L’inconnu et les phénomènes psychiques, p. 352.
(3) Dans un discours prononcé à la Société des recherches psychiques de Londres, par son président, M. William Crookes, ce savant proposait,
dès 1897, une théorie physique, du plus haut intérêt, pour expliquer la télépathie et la transmission de la pensée ou des images directement, d’un
esprit à un autre, sans l’intermédiaire — tout au moins sans la relation immédiate ou voisine — des organes des sens (Annales des sciences psychiques, mars-avril 1897). M.Crookes s’est appuyé surtout, à cette époque, sur les vibrations d’une extrême petitesse qui caractérisent les rayons Roentgen. Les belles découvertes de M. Branly (télégraphie sans fil obtenue par l’enregistrement des ondes ou vibrations hertziennes) et de M. et Mme Curie (sur la radioactivité), sont venues fortifier cette théorie. Bien que M. Crookes ait été magnifiquement dupé par le fantôme de Katie King qui n’était autre que la soeur de la fameuse Florence Cook (aujourd’hui Miss Corner), ce savant mérite ici un hommage particulier pour ses très intéressantes recherches sur les rapports que les lois importantes de la matière et de l’énergie peuvent avoir avec les problèmes psychiques
et les phénomènes spirites.
(4) Voir aussi : les Annales Politiques et Littéraires, 1er sem. 1899, p. 291, l’Echo du Merveilleux du 15 juin 1906 et le Soleil du Dimanche Illustré du 23 juin 1906. On y trouvera, à propos des expériences de spiritisme faites chez Victor Hugo à Jersey, en 1853 et racontées par M. Remy, au Théâtre Robert-Houdin, dans sa deuxième conférence, des preuves péremptoires de cette indépendance des esprits.
(5) En présence de certains faits extraordinaires, dont il venait d’être le témoin à Lourdes, Emile Zola disait : « II se passe ici des choses extranaturelles. » (Le Gaulois, juillet 1892).
(6) M. Roucard, déjà cité.
(7) Voir aussi la préface de ce distingué professeur et savant, précédant « Les Hallucinations Télépathiques de M. L. Marillier, maître de conférences à l’Ecole des Hautes-Etudes ».
(8) Home eut une violente crise de nerfs lorsqu’il fut surpris dans ses fraudes à Biarritz ; Slade fut condamné à Londres, pour escroquerie, à trois mois de « Hard-labour » et mourut dans une maison de santé ; etc.
– Revenir à la première partie : LE SPIRITISME (1/4).
A lire :
– Histoire de la voyance et du paranormal, du XVIIIème siècle à nos jours de Nicole Edelman. Editions du Seuil (2006).
– Phénomènes psychiques.
– Georges Méliès, la magie et les fantômes.
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