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Artefake

L' Art de l'illusion

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Jean-Pierre HORNECKER

Magix Unlimited

Romain Brilli

Pouvez-vous nous parler de votre enfance et de votre première rencontre avec la magie ?

Je suis né le 24 février 1942 à Strasbourg. Mon père, qui était ouvrier, organisait régulièrement de petites fêtes dans un restaurant voisin. Un jour, il a engagé un magicien amateur qui était une de ses connaissances. Cet artiste faisait du table-à-table. Ce fut mon premier contact avec la magie.

Parlez-nous de votre carrière magique et professionnelle

J’ai appris la magie dans les livres car, à l’époque, c’était la seule manière. Les éditions Payot avaient édité une dizaine d’ouvrages sur la prestidigitation. Vers seize-dix-sept ans, j’avais un numéro de 10-15 minutes. Je commençais par un tour très impressionnant où j’avalais des lames de rasoir. Je descendais de la scène pour que le public teste les lames en découpant lui-même du papier, puis je les avalais une par une. Je pouvais en avaler une vingtaine de la sorte, avant de revenir sur scène et de les ressortir toutes attachées à un fil. Je faisais, ensuite, le numéro du « cordon de grand-mère » ou « du fakir » avec une veste, où je devais me libérer d’une corde solidement attachée autour de moi. J’avais inventé un tour de scène que j’aurais dû vendre comme marchand de trucs. Il s’agissait de deux tubes vides qui faisaient entre 40 et 50 cm de hauteur et 10-12 cm de diamètre. Les tubes étaient montrés à examiner au public. Une charge passait de l’un à l’autre par un système d’obus, sans être visible. Et je sortais ainsi du tube, au milieu du public, un par un, 70 foulards qui apparaissaient de nulle part ! C’était le final de mon numéro. Le plus important dans un spectacle est de bien réussir son entrée, et son final. Le reste importe moins, car généralement le public l’oubli. Je faisais aussi le tour des « nœuds baladeurs ». Trois foulards sont posés sur une chaise, trois autres foulards noués sont sur une autre chaise et le magicien qui se trouve au milieu fait passer les nœuds d’une chaise à l’autre. Récemment, nous recevions un conférencier au Cercle Magique d’Alsace. Je parlais, durant la pause, justement de ce tour à mon ami Francis Tabary et, comme par télépathie, le conférencier a repris sa conférence avec ce tour alors que je ne l’avais pas vu faire depuis plus de soixante ans !

Jean-Pierre Hornecker alias Randja en 1960

C’est à l’âge de trente ans que j’ai rencontré Francis Tabary. C’est lui qui a monté le Cercle Magique d’Alsace, il y a un peu plus de cinquante ans. À l’époque, il avait fait le tour de tous les magiciens de la région pour faire la promotion de son association, et, c’est ainsi qu’il m’a contacté et que je me suis investi durant vingt-deux ans. Le cercle des magiciens de Strasbourg est toujours très actif, avec une cinquantaine de membres. À mon époque, j’avais copié une formule que j’avais vu au Club des magiciens de Turin. Ils intégraient des « amis de la magie » pour promouvoir leur art. Ces membres amenaient de l’argent au club et du monde aux manifestations.

À dix-huit ans j’ai attrapé la polio dont je garde encore des séquelles. Je ne pouvais pas travailler longtemps dans la position debout. Jusqu’à l’âge de vingt ans j’ai été typographe. Je suis ensuite devenu correcteur d’imprimerie. Puis, j’ai travaillé dans une agence de publicité qui s’appelait CHRIMA. Je dirigeai alors une quinzaine de personnes. Ça m’a permis d’acquérir une sérieuse compétence dans l’envoi de mailings (courriers publicitaires). Plus tard, je referai exactement la même chose en tant que marchand de trucs, en faisant travailler les mêmes imprimeurs et en utilisant les mêmes techniques.

C’est à l’âge de vingt-huit ans, en 1970, que j’ai écrit mon premier livre Manuel pratique des Organisateurs de Festivités. J’avais trouvé un éditeur parisien qui s’appelait Lancel. Sa maison d’édition s’appelait « Éditions Techniques du Spectacle. » Il édita 5000 exemplaires de mon livre. Il avait bien fait les choses au départ, j’avais même été interviewé par Philippe Bouvard sur Europe 1. Après quelque temps, il s’avéra que l’éditeur n’avait pas réglé l’imprimeur. Celui-ci me contacta et me demanda si je voulais racheter mes livres ou s’il devait les détruire. J’ai décidé de les racheter et, de prendre le risque de les vendre moi-même. C’est ainsi que j’ai commencé la vente par correspondance. J’ai contacté des amicales, des associations, des chorales, etc. pour le vendre et j’ai ainsi écoulé, au fil du temps, les 5000 exemplaires. Peut-être que si je n’avais pas été contraint de vendre mes livres, le reste ne serait pas arrivé. « Il faut donner une chance à la chance » comme on dit !

Jean-Pierre Hornecker exécutant le tour de la carte au foulard en 1988

Je n’ai ensuite rien publié jusque dans les années 76. J’ai ensuite édité petit à petit des livres sous le nom « Éditions Techniques du Spectacle. » Parmi mes premiers livres il y avait Secret à la carte, Cartomania de Vollmer édité quatre fois et le seul livre sur Houdini édité en langue française qui avait été tiré à 2500 exemplaires. Vers 1987, alors que j’avais quarante-cinq ans, j’ai pu quitter mon travail de publicitaire et vivre exclusivement du métier d’éditeur et de marchand de trucs.

Ce qui compte dans le titre d’un livre c’est d’appeler un chat, un chat. Un jour Frantz Réjasse a appelé un de ses livres Fleur de coin. Et c’était un livre sur la magie des pièces ! Ça n’a pas de sens ! Je n’ai jamais fait de jeux de mots, sauf, un jour, pour un petit livre que j’ai nommé : ACEBERG. Il s’agissait d’un bonneteau avec des as. Bonneteau se dit « monte » en anglais. Monte signifie montagne en italien et montagne se dit « Berg » en Allemand. ACEBERG est donc un joli résumé de l’effet.

En 1990, j’ai trouvé le nom « Magix » pour une raison publicitaire. À cette époque, un marchand de trucs parisien sévissait sur le marché aux puces de la banlieue. Il souhaitait mettre une annonce dans les journaux de l’époque, mais elles étaient trop chères. Une annonce de la taille d’une petite boite d’allumettes valait l’équivalant de 1000 € d’aujourd’hui. On s’est alors associés pour acheter une annonce. « Éditions Techniques du Spectacle » était bien trop long dans l’adresse. Ses initiales « ETS » n’étaient pas très « vendeurs ». J’ai alors trouvé en cinq minutes « Magix » pour assurer la promotion de mon entreprise. Notre association a fonctionné six/sept ans. On privilégiait les annonces dans des journaux de programme de télévision qui avaient une durée de vie plus importante, de 7 jours, en comparaison à un journal classique. Une annonce dans Le chasseur français nous a rapporté de nombreux contacts dont certains dans ma région, qui sont devenus, par la suite, des amis. En 1995, mon entreprise est devenue « Magix Unlimited » uniquement pour des raisons juridiques, car j’ai dû refaire les statuts de la société pour y intégrer mon fils en tant qu’associé.

Vous avez édité des livrets intitulés Dix tours de magie faciles – petit annuaire de la magie avec de nombreux visuels de première page présentant des magiciens différents. Pouvez-vous nous en dire plus ?

Le livret de quelques pages avait été écrit par Alan Altaï, un vieil ami à moi. Il n’était destiné qu’à la revente aux nombreux magiciens qui, à l’époque, se produisaient sur les scènes locales et qui désiraient arrondir leurs fins de mois, si l’on peut dire, en vendant avant, pendant ou après leurs prestations un petit livret pour apprendre la magie. Ces magiciens pouvaient faire repiquer ces livrets à leurs noms ou les acheter en petites quantités sans repiquage. Le repiquage étant le fait de faire figurer leur propre nom pour suggérer aux acheteurs que le vendeur était aussi l’auteur. Je ne me souviens pas du ou des tirages, ni du nombre de magiciens qui les ont achetés en leurs temps.

Jean Pierre Hornecker en 1988

Avez-vous eu une boutique physique ?

J’ai eu une boutique sans vitrine car ça prend trop de temps de renseigner les curieux, pour qu’en plus parfois la vente n’aboutisse pas. Je n’ai eu que des studios où venaient les magiciens professionnels ou les amateurs éclairés. J’ai commencé dans la maison de mes parents, puis j’ai eu, pendant quinze ans un local plus grand, avec une salle pour les conférences, quand les affaires étaient prospères. J’ai eu, alors, jusqu’à cinq salariés à temps plein qui travaillaient pour mon entreprise. En 2005, l’arrivée d’internet a rebattu les cartes, les affaires sont devenues plus difficiles ; j’ai alors retransféré mon affaire dans la maison de mes parents.

Studios showroom de la société Magix

Vous avez énormément travaillé avec Richard Vollmer, pouvez-vous nous en parler ?

Richard Vollmer, c’est un phénomène ! Si vous lui donnez à corriger un livre de 500 pages et un stylo rouge, vous pouvez être sûr qu’il n’y aura plus d’encre à la fin. Il ne laisse rien passer ! C’est un plaisir que de travailler avec lui. Il n’y a même pas besoin de relire un livre qu’il a traduit, car il n’y a rien à trouver. En mai 1994, le Tome 1 Cours de Cartomagie Moderne de Roberto Giobbi sortait tout juste de l’impression. Richard en a pris un exemplaire pour le relire, puis, il m’a dit : « C’est bon Jean-Pierre, il n’y a pas de fautes. » J’étais soulagé, même si je n’avais aucune inquiétude. Maintenant, il travaille pour Magic Dream. Ils peuvent être sereins car ils ont le meilleur ! À l’heure où vous êtes en train de lire ces lignes, je suis certain qu’il est en train de traduire quelque chose !

Jean-Pierre Hornecker entouré de Richard Vollmer et Roberto Giobbi (fin 1980)

Y a-t-il un livre que vous auriez aimé éditer ?

Tabary et moi voulions que Richard Vollmer écrive un livre traitant de tous les principes de magie. J’ai souvent traité un principe en profondeur dans les livres que j’ai édités comme, celui sur le principe de Gilbreath, le forçage Patéo, le portefeuille à échange… J’aurais aimé publier un livre listant tous les principes. Je regrette de ne pas avoir réussi à convaincre l’ami Vollmer.

Jean-Pierre Hornecker avec Richard Vollmer et Francis Tabary

De quel livre êtes-vous le plus fier ?

Sans conteste du livre de Roberto Giobbi Cours de Cartomagie Moderne. Le livre fait mille pages. On l’a traduit de l’allemand en 1994. Ça a été la première traduction étrangère de son livre et la seule où les dessins ont été retouchés. Je suis particulièrement fier du travail qu’on a fait. Les dessins étaient réalisés par la femme de Roberto à partir de photographies, mais présentaient à chaque fois les mains avec les avant-bras. Pour qu’on voit mieux les manipulations, on a retouché environ mille dessins pour enlever l’avant-bras et ainsi mieux voir les mains. Marchand de trucs qui vient de rééditer ces livres, a réutilisé mes planches originales.

Avez-vous créé des tours ?

J’ai amélioré de nombreuses routines à force de manipuler, mais je n’ai pas créé beaucoup de tours. Ce n’était pas ma vocation. La seule routine que je pense vraiment avoir inventé, c’est une routine de l’huile et de l’eau où on enlève deux cartes à chaque fois. On commence avec quatre cartes rouges et quatre cartes noires, puis on refait l’effet avec trois cartes, puis avec deux cartes seulement et enfin avec une carte. Les effets les plus simples sont souvent les meilleurs.

Jean-Pierre Hornecker lors de démonstrations cartomagiques

Avec ce rythme effréné, arriviez-vous à prendre du temps pour vous ?

Je ne suis jamais allé en vacances de toute ma vie. Cela aurait été une punition et j’aurais perdu mon temps ! Il y a un proverbe Allemand qui dit : « On ne peut pas danser à tous les mariages.» Les seuls moments où je voyageais, c’était pour les congrès. J’en ai fait un peu partout, tout au long de ma carrière. Il y a un congrès allemand auquel je n’allais plus car, j’étais connu comme le loup blanc. Je serais revenu avec une brouette pleine de tours !

Quels magiciens vous ont le plus impressionnés ?

Récemment, les Ehrlich Brothers m’ont abasourdi ! En plus « Ehrlich » veut dire « Honnête » en allemand ! Dans un stade de 40 000 personnes, ils marchent en l’air à l’horizontale, font des flying en moto….  C’est ahurissant ! Ça dépasse l’entendement ! Tabary est vraiment un type spécial. Quand je l’ai rencontré, il y a cinquante ans, il manipulait avec aisance et prenait des risques inconsidérés. Il n’a pas peur de se faire prendre la main dans le sac. Ça m’a toujours impressionné !

Jean-Pierre Hornecker avec Francis Tabary

Quels sont, pour vous, les meilleurs créateurs en magie ?

Mickaël Chatelain en France et le regretté Pavel, immigré tchèque installé en Suisse, ont une signature invisible. Quand on voit un tour, on sait que c’est eux qui l’ont créé. Les explications de leurs tours sont parfois meilleures que l’effet lui-même. Ça m’est arrivé, à la lecture de la description d’un tour de Mickaël Chatelain, de l’appeler et de lui dire : « Mais, ce que tu écris est impossible ! » Et lui, me répondait : « Si, si, c’est possible ! »

Lubor Fiedler, lui aussi d’origine tchèque, était un véritable génie. Il créait de nouveaux principes, ne se contentant pas d’améliorer un tour existant. Un jour, à la fin d’une conférence, il a refermé sa mallette de magie, l’a posée par terre et à vue, elle est rentrée petit à petit dans le sol, pour finalement y disparaître. C’était impossible ! Dès la fin de la conférence, je suis allé le voir, je voulais acheter cet effet. Il m’a dit, on ne peut pas le vendre ! Lubor Fiedler jouait vraiment avec les limites parfois. La République Tchèque a donné trois inventeurs à Tenyo, Pavel, Lubor Fiedler et Petrick & Mia. La France est représentée, à ce jour, par Mathieu Bich qui a créé trois tours que Tenyo a commercialisés. Enfin, l’anglais Angelo Carbone a créé de nombreux tours qui ont été édités par Tenyo. Ted Lesley n’a presque inventé aucun tour, mais les a magnifiés. On lui donne un bon tour et il en fait quelque chose d’exceptionnel ! Aldo Colombini pareil. Ils savent comment mettre en scène une idée pour en retirer le meilleur.

Vous avez été revendeur Tenyo, pouvez-vous nous en parler ?

En France, le premier revendeur de Tenyo a été l’Académie de Magie Georges Proust à Paris au milieu des années 1980. J’achetais, à cette époque, les Tenyo chez Méphisto en Belgique, pour les revendre. J’ai finalement réussi à passer directement par Tenyo et j’ai été revendeur Tenyo pendant 25 ans. Le représentant Tenyo, pour la France, était Yoshi Tamura. Récemment, Tenyo a durci les conditions pour ses revendeurs, gardant juste quelques grands distributeurs internationaux comme interlocuteurs. Chaque année Tenyo proposait une poignée de nouveautés (avec parfois des reprises de routines célèbres). Sur les quatre nouveautés habituelles il y en avait une qui était carrément géniale. Un ou deux tours étaient d’honorable tenue. Et, il faut bien le dire, il y avait aussi une routine dont ils auraient pu faire l’économie.

Vous avez aussi édité beaucoup de catalogues et de notices

Comme les livres, j’ai dû éditer environ 200 catalogues, qui étaient de plus en plus épais à mesure que le temps passait, pour arriver à des catalogues qui faisaient environ 300 pages. En 1988, J’ai édité Top Secret, un gros catalogue d’environ 350 pages, toutes pleines à ras bord. J’ai fait une souscription pour savoir combien en éditer. Le jour où les catalogues sont sortis de chez l’imprimeur, tous étaient déjà vendus.

Dans les années 90, j’éditais un catalogue tous les deux mois. Ça me prenait environ huit jours pour en concevoir un. J’ai envoyé jusqu’à 10 000 catalogues par voie postale. De nos jours, un de mes confrères fait de la publicité presque tous les jours, car on est obligé, maintenant, pour ne pas être oublié. À ce rythme, je frémis à ce qu’ils vont faire dans dix ans, il faudra qu’ils relancent leur clientèle tous les quarts d’heure ! À l’époque, je passais une journée à créer un mail (prospectus et bon de commande). Aujourd’hui, ils pré-vendent des tours qu’ils n’ont vu qu’à travers de magnifiques vidéos. Et, quand on reçoit le tour, on tombe par terre tellement c’est mauvais !

Un jour, Jean-Pierre Vallarino s’est fait avoir en achetant un tour où, sur la vidéo, le magicien arrivait à saisir une carte à travers le pare-brise d’une voiture. En recevant le tour, il a eu la désagréable surprise d’avoir l’explication pour faire un simple empalmage. L’enregistrement avait été coupé au moment où le magicien faisait l’empalmage. On peut tout faire dire à une vidéo !

En cinquante ans d’activité, je n’ai eu qu’une seule réclamation quant à mes descriptions publicitaires. J’avais dit que c’était un « tour automatique » et le client m’a dit qu’il fallait quand même qu’on mélange le jeu ! Je tricotais mes textes de manière à être inattaquable et surtout, je choisissais les tours que je vendais, avec soin. Quand on crée une publicité, il faut l’écrire, la laisser reposer, la revoir le lendemain et, le surlendemain, pour, au final, ne garder que ce qui est essentiel. J’ai dû écrire environ mille notices. Parfois mes notices devenaient de petits livres. Ce fût le cas, par exemple, pour les aimants forts. C’était important, pour moi, de soigner mes notices et de présenter, en détail, tout ce qu’il était possible de faire avec un gimmick. Dans le temps, je faisais trois/quatre séances de démonstrations de magie dans mon showroom. Ça me permettait de manipuler les gimmicks et ainsi d’améliorer les notices en trouvant de nouvelles possibilités ou en améliorant les anciennes.

Cédric Hornecker lors des prises de vue pour concevoir le catalogue Magix n°14 de 2004

Magix Unlimited prit fin en 2016 avec comme dernière édition, The very best of Darwin Ortiz. En 2017 j’ai créé le site E-Magix. Je propose, sur ce site, une vingtaine de livres, une centaine de routines clefs en main, environ 400 notices et des récits historiques en libre téléchargement. Aujourd’hui c’est mon fils, Cédric Hornecker, qui a repris la gestion de ce site internet.

Merci énormément Jean-Pierre pour tout le temps que vous nous avez consacré à cette interview et sur le long travail de recherche concernant votre bibliographie. Nous vous en sommes infiniment reconnaissant.

À lire :

  • La bibliographie complète de Jean-Pierre Hornecker

À visiter :

  • Le site de MAGIX

Interview réalisée en mai 2025. Crédits photos – Documents – Copyrights avec autorisation : Jean-Pierre Hornecker / Éditions Techniques du Spectacle – Magix. Tous les documents et archives sont proposés sauf avis contraire des ayants droit, et dans ce cas seraient retirés.

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